samedi 3 décembre 2016

Penser à un sanctuaire albo-européen par Thierry DUROLLE

Le péril démographique et l’urgence que représente la préservation de notre race, enfin du meilleur de notre race, sont deux enjeux majeurs du XXIe siècle. Ils sont qui plus est liés l’un à l’autre. D’un côté le Tiers-Monde, et particulièrement l’Afrique subsahrienne, déborde et se déverse sur l’Europe dans un flux migratoire historique; de l’autre une civilisation-mère, s’incarnant d’un point de vue biologique dans la race blanche, civilisation qui capitule, qui se laisse mourir via un déficit démographique et à un renoncement à son être métaphysique.
Pour beaucoup le constat est sans appel : nous avons franchi le point de non-retour. Notre terre, nos patries charnelles, nos particularismes culturelles ainsi que notre fondement biologique, sont à jamais défigurés. Par les complicités des « humanistes » de tout poil, de l’agenda de l’hyperclasse mondialiste, et bien entendu à cause de la complicité criminelle de l’Église soucieuse de renouveler sa clientèle, nous sommes en train de disparaître et d’être remplacé sur notre propre sol ! Il suffit de se rendre dans n’importe quelle ville française pour le constater. La campagne n’y échappera pas non plus avec la politique de « mixité sociale » (ou plutôt raciale ) du gouvernement Valls et évidemment l’implantation des fameux « migrants ». Vous avez dit aucune issue ? Arthur Kemp a peut-être la solution.
batir-le-foyer-blanc_006.jpgCet ancien du BNP (British National Party) reste relativement inconnu dans notre pays. Deux de ces brochures sont disponibles en français grâce au travail de la maison d’édition Akribeia qui eut la bonne idée d’éditer Qu’est-ce que l’ethnonationalisme ? et surtout Bâtir le foyer blanc. Ce dernier est tragiquement d’actualité. Arthur Kemp y expose tout d’abord ses arguments pour la création d’un sanctuaire pour les Albo-Européens. Les autres ethnies ont bien le droit à leurs propres sanctuaires, pourquoi pas les Blancs ? D’autant plus que notre race est tout clairement en danger d’extinction ! Les arguments ont certes une teinte morale, voire humaniste, notamment lorsque l’auteur s’appuie sur le principe d’autodétermination des peuples. Mais après tout, pourquoi cracher dans la soupe si cela va dans notre sens ? Là où le propos devient beaucoup moins humaniste pour se faire réaliste, c’est lorsque l’auteur affirme que tous les Blancs ne seront pas sauvés du désastre et que ce n’est pas une si mauvaise chose. Aussi dur que cela puisse être à entendre pour certains, nous souscrivons entièrement à ce constat.

Le principe d’un foyer blanc ayant été exposé, Kemp nous présente ensuite deux exemples de foyers ethniques créés ex nihilo : la communauté afrikaaner d’Oriana et Israël. De ces deux expériences, l’auteur en tire les leçons, qu’elles soient positives ou non. Puis vient la détermination de l’espace vital nécessaire. Le choix d’Arthur Kemp se porte sur l’Europe de l’Est, un espace géographique se situant soit du côté du Bélarus, soit de l’Ukraine, ou d’une partie de la Russie. Il y a matière à débattre quant au lieu, c’est évident. Il faut aussi que le pays d’accueil soit d’accord quand à la cession d’un territoire, sans parler d’être reconnu internationalement. Bref plus facile à dire qu’à faire nous en convenons, mais la démarche est tellement légitime, vitale que se lancer dans un tel projet devrait sonner comme une évidence à tout à chacun.
Certains rétorqueront qu’il faut rester ici et se battre. Ils ont entièrement raison. Néanmoins l’établissement d’une base arrière nous semble être cohérent quant à la logique de combat. Opposer le combat et l’élaboration d’un sanctuaire serait idiot car ces deux démarches vont ensemble. Bâtir le foyer blanc est une piste de réflexion sérieuse quant à la sauvegarde du meilleur de notre race. Les arguments d’Arthur Kemp sont justes, mesurés et nullement fantaisistes. Oui, il faudra approfondir la question et trouver le meilleur moyen de bâtir notre sanctuaire. Pendant ce temps rien ne nous empêche de créer des communautés rurales, des écoles hors-contrat et d’envoyer des éclaireurs à la recherche d’un nouvel espace vital. Il en est de notre devoir.
Thierry Durolle
• Arthur Kemp, Bâtir le foyer blanc, Akribeia, 2015, 136 p., 15 €.

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