mardi 27 septembre 2016

Paris dégage un fort parfum coréen du nord…

Quelle conception incongrue de l’autorité a ce pouvoir, cet univers socialistes dans toutes ses facettes !
Aujourd’hui, c’était la piétonnisation des voies sur berges. Le maire de Paris, seul contre tous, notamment l’instance consultative qui a émis un avis négatif, l’a décidée et la préfecture, toujours courageuse, l’a admise mais constatera ce que l’expérience a donné. Les Parisiens sont des cobayes.
Anne Hidalgo ne reculera pas mais on n’avancera plus.
Dimanche, si on voulait avoir le droit de circuler en voiture, il fallait le faire avant 11 heures et après 18 heures.
Commode pour tous ceux qui avaient, par exemple, prévu de quitter Paris dans la matinée et de revenir tôt dans l’après-midi !
La détestation des voitures pour lutter contre la pollution a beau apparaître comme une cause à la mode et en partie légitime, elle est dénaturée, dévoyée, dégradée quand elle tombe, pour être respectée, dans un totalitarisme qui, pour être parisien et prétendument progressiste, dégage cependant un fort parfum coréen du nord. Les moyens pervers altèrent les plus nobles finalités, à supposer qu’en l’occurrence elle soit telle.

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